Les victimes du cyberharcèlement devraient bénéficier d’une véritable aide, et pas seulement d’une consultation psychologue

Le cyberstalking peut avoir des niveaux d’intensité différents et causer des dommages divers à la victime.

Le cyberstalking se fait très souvent, sinon presque chaque fois hors ligne et physique. 

Les personnes victimes du cyberharcèlement ont besoin d’une aide réelle et cette aide n’est pas seulement une consultation psychologue. Ils pourraient avoir besoin d’un endroit sûr pour vivre. Ils pourraient avoir besoin d’un emploi sûr.

Avec mon initiative, je souhaite contribuer à fournir une aide et une assistance adaptées aux victimes du cyberharcèlement. 

Si vous souhaitez participer au groupe d’organisateurs de mon initiative citoyenne «Les victimes du cyberharcèlement ne doivent pas se contenter d’une consultation psychologue», veuillez me signaler.

Dans mon cas, le cyberstalking a rendu publiques des informations sexuelles et d’autres informations privées au sein d’une entreprise française de 40 ans à des fins de divertissement public. Après avoir tenté de continuer à travailler dans une autre entreprise en Allemagne (non liée à l’entreprise française) où le harcèlement s’est répété, j’ai dû me rendre sans emploi pour éviter le suicide.

Dans mon cas, les cyberstalkers ont contacté des voisins pour me harceler afin de me faire vendre un bien familial à moins d’un cinquième de sa valeur.

J’ai signalé le cyberharcèlement à la police et, deux ans plus tard, je suis toujours activement harcelé.